- sọt rác
- /Dustbin/ Abfalleimer, Mülltonne
Từ điển Việt-Đức. Vietnamesisch-Deutsch Wörterbuch..
Từ điển Việt-Đức. Vietnamesisch-Deutsch Wörterbuch..
mot — (mo ; on prononçait mo au XVIe siècle, PALSGRAVE, p. 24, et non pas mot ; le t se lie dans la prononciation soutenue : un mo t ambigu ; dans la conversation, on ne le lie pas, excepté dans la locution : mot à mot ; quelques personnes font sentir… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
faire — 1. (fê r) Au XVIe Siècle, d après Bèze, les Parisiens prononçaient à tort fesant au lieu de faisant ; c est cette prononciation des Parisiens, condamnée alors, qui a prévalu ; on prononce aujourd hui fe zan, fe zon, fe zê, fe zié), je fais, tu… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
quelque — (kèl ke ; d après Chifflet, Gramm. p. 231, il était mieux de ne pas prononcer l l) adj. indéfini 1° Un ou plusieurs, entre un plus grand nombre. • Est il échappé quelque indiscrétion à sa jeunesse ?, FLÉCH. Lamoign.. • Quelques crimes… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
de — (de) prépos. 1° Suivi de l article le, de se contracte en du avant un nom qui commence par une consonne ou une h aspirée ; suivi de l article les, il se contracte en des ; devant une voyelle ou une h muette, l e de de s élide. Les sens de la… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
parler — 1. (par lé) v. n. 1° Articuler des mots, prononcer des paroles. 2° Il se dit des oiseaux imitant la voix humaine. 3° S exprimer. 4° Discourir, s énoncer par le discours, causer. 5° Parler que, au sens de dire. 6° Parler à, adresser la … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
on — (on ; l n se lie : on aime, dites : on n aime ; d autres ne conservent pas le son nasal de la voyelle, et disent o n aime. L n ne se lie pas quand, dans une interrogation, on est après son verbe ; que dit on à la cour ? Elle ne se lie pas non… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
trouver — (trou vé) v. a. 1° Rencontrer quelqu un ou quelque chose, soit qu on les cherche, soit qu on ne les cherche pas. • Ah ! seigneur Geronimo, je vous trouve à propos, et j allais chez vous vous chercher, MOL. Mar. forcé, I, 2. • Quand on voit… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
temps — (tan ; l s se lie : un tan z agréable ; au XVIe siècle, on prononçait tan, PALSGRAVE, p. 24) s. m. 1° La durée des choses en tant qu elle est mesurée ou mesurable. 2° Le temps suivant les points de vue philosophiques. 3° La durée bornée,… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
maître — (mê tr ) s. m. 1° Celui qui commande soit de droit soit de fait. 2° Celui qui possède des esclaves. 3° Roi, empereur, prince souverain. 4° Celui qui par la force entre en possession, en domination. 5° Il se dit des choses abstraites… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
trait — 1. (trè ; le t ne se lie pas ; au pluriel, l s se lie : des trè z irréguliers) s. m. 1° Action de tirer une voiture, un chariot. 2° Corde ou lanière en cuir par laquelle les chevaux tirent une voiture. 3° Plusieurs bateaux qu on attache… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
mal — mal, ale (mal, ma l ; au pluriel, maux, qu on prononce mô ; l x se lie : des mô z affreux) 1° Adj. Quinuit, qui blesse. 2° S. m. Ce qui nuit, ce qui blesse. 3° La part de mal qui, aux yeux de l homme, règne dans l univers. 4° Ce qui est… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré